"Hommage à Romy Schneider"
(Claude Stoppa – Cyril Alexy / Didier Noël)
Du plus lointain que je me souvienne,
Tu fût présente, Oh ! Toi ma reine.
L’Autriche, qui te vis naître
Fit de toi sa princesse.
Il te fallut mettre fin et te battre sans cesse
Pour faire oublier cette image
Trop collante de princesse d’étalage.
De princesse d’étalage.
REFRAIN :
Lorsque le rêve est fini,
Il reste les choses de la vie.
L’important c’est d’aimer, d’aimer.
César et Rosalie avaient un vieux fusil,
Mais le train est passé
Comme un amour de pluie.
Comme un amour de pluie.
Il nous reste pourtant un monceau d’image
Qui ont fait de toi cette femme responsable,
Comme “Califa“ ou “Banquière“ admirable.
Ou “Banquière“ admirable.
Tu réapparais telle un mirage
Pour donner du rêve à nos vies moroses,
Toujours grâce à tes parfaites métamorphoses
A tes parfaites métamorphoses.
REFRAIN
Avec ses rôles dits de composition
Et auxquels tu donnas l’intonation,
Marquante de tes yeux qui ont tant vus.
Oui, de tes yeux qui ont tant vus.
Aux fils des joies déçues et imprévues,
Tu as préféré partir sans dire un mot.
Vers un univers où le repos,
Où le repos sera ton lot.
Lorsque le rêve est fini,
Il reste les choses de la vie.
L’important c’est d’aimer.
César et Rosalie avaient un vieux fusil,
Mais le train est passé
Comme un amour de pluie.